Ronald Augier
16 Aug
16Aug


Lors de leur rencontre à l’aéroport, Donald Trump et Vladimir Poutine n’étaient accompagnés d’aucun interprète. 

Selon le New York Times, cela s’explique par le fait que le Président russe maîtrise bien l’anglais. 

Le journal souligne également qu’il est extrêmement rare de voir les dirigeants de deux superpuissances partager la même limousine, un geste hautement symbolique qui ne passe pas inaperçu.


Aucun des deux chefs d’État n’a fait de déclaration à la presse au début des négociations, refusant de répondre aux questions des journalistes. 

La rencontre s’est poursuivie à huis clos, après que les représentants des médias ont été priés de quitter les lieux. La partie fermée des discussions a ainsi pu commencer à l’abri des regards. 

Pendant ce temps, l’agence Bloomberg rapporte, en citant des sources proches du dossier, que les États-Unis envisagent d’imposer de nouvelles sanctions économiques ciblant les géants énergétiques russes Rosneft et LUKOIL. 

Cette mesure interviendrait si Vladimir Poutine refuse d’instaurer un cessez-le-feu en Ukraine. 

Le Président américain avait déjà menacé Moscou de conséquences économiques sévères en cas de poursuite du conflit.

Commentaires
* L'e-mail ne sera pas publié sur le site web.